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Par dfgdfgdf • 27/08/2025
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Pour traduire la poésie, il faut de la créativité et de la rigueur, et du temps pour négocier entre les deux ; il faut s’autoriser le jeu et l’invention, puis savoir renoncer à certaines trouvailles ou registres ; il faut laisser croître le texte traduit selon sa dynamique propre, tout en évitant qu’il s’emballe. Dans ce chapitre, nous examinerons la démarche traductive qui a présidé aux textes traduits présentés ici en bilingue, pour laquelle nous proposerons le terme de traduction « pellissienne ». En effet, notre démarche est intimement liée à l’étude critique qu’elle a précédée, et donc nourrie par elle, tout en en découlant, puisque les traductions ont été constamment remaniées1. Traductions et lectures critiques se sont motivées et modulées mutuellement, et à la Voix-peau de Fenton correspond une démarche « pellissienne », non pas pour abandonner une peau et en prendre une autre, comme dans « The Skip », mais pour tirer profit de son élasticité et de sa porosité pour l’étendre encore plus loin.